<* L'HIVER RESSEMBLE BEAUCOUP A L'ENFER *>
[libre]
Je suis déboussolé. Tout va trop vite. Je ne peux pas continuer ainsi. Les évènements de ma vie se succèdent à une vitesse folle, et j'ai l'impression de n'être qu'un pion dans l'échequier géant de l'Univers. J'aimerais bien m'arrêter un instant, souffler. Pouvoir me calmer et réguler ma respiration. Puis reprendre le cours des choses, à mon rythme. Malheureusement, on ne peut gérer le temps. Juste le voir défiler à grande vitesse devant nos yeux étonnés. Pourtant, on raconte qu'à la mort, le temps se fige. Que nous ne vieillissons plus et que les saisons ne tournent plus. Seul un printemps perpétuel accompagnent les âmes défuntes. Papa, j'espère que ton printemps à toi est joyeux. Pas comme celui où je t'ai perdu.
Je courrais depuis plusieurs heures déjà. La nuit avait été fraiche, et j'avais ressentis le besoin d'affronter les risque de la nuits , pour me changer les idées. Je réfléchissais trop, décidement. Je voyais au gré du vent, et celui-ci m'emmena vers une vaste prairie. Nous 'étions en hiver, celle-ci etait recouvers de neige. Même le soleil n'arrivais pas faire fondre la glace. Mais pourquoi je parle de soleil ? Il n'est pas au rendez-vous ; bien aux contraire il fait bien nuit. Je soupirai, et esseyai de trouver quelques liévre pour me revigorer. Ce ne fut pas chose facile, seuls de la glace recouvrait le paysage et les lapin bien au chaud dans les terrier ,s'emblait meme me nargué, et des buissons épineux ne donnant pas vraiment envie de s'y frotter. Toutefois, la faim tiraillant mon estomac,m'aprochas devant un arbre . Je finis par trouver quelque insecte qui c'etait abrité. Après les avoir dévoré, je me retournai, et c'est là que je te vis une ombre ...
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